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Trois chambres au San Francisco - Antoine Marquis

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Atemporels, les dessins et peintures d’Antoine Marquis sont le fruit d’une culture acquise au contact des dessins de Gustave Doré et de Léon Spilliaert, de Franck Frazetta et Philip Guston, mais aussi des films de Henri-Georges Clouzeau, Eric Rohmer ou Lucio Fulci. 
Ses images sédimentaires peuvent se lire comme un ensemble de documents graphiques ou de dessins préparatoires pour un film qui n’existera sans doute jamais. Ces documents constituent autant de repérages de décors (ou de motifs, d’objets, de figures, de situations) pour un film improbable qui oscillerait entre la fantaisie fantastique de ”Judex” de Georges Franju et l’âpreté poétique de ”De bruit et de fureur” de Jean-Claude Brisseau. Pour Antoine Marquis les rues de Toulon se prêteront à n’en pas douter à enrichir son scénario. 

Instagram @marquis_antoine 

https://www.antoinemarquis.com

En résidence au metaxu du 5 octobre au 9 octobre 
Vernissage le vendredi 9 octobre à 18h 
Exposition du samedi 10 octobre au samedi 7 novembre 2020
Ouverture de l’exposition du mercredi au samedi de 14h à 18h et le vendredi de 14h à 22h 

LIBRE - John Deneuve

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Artiste, musicienne, performeuse, son travail mêle l’installation, la performance, la musique, l’expérimentation sonore, la video, le dessin. 
John Deneuve développe un univers protéiforme, elle collabore régulièrement à des projets plastiques ou sonores avec des artistes de différentes scènes.
À la frontière de différentes catégories esthétiques, elle explore le code des genres pour questionner les pièges de la pensée unique. Sa pensée évolue en étant à l’écoute des nouvelles définitions du genre et du nouveau féminisme. John tente de déconstruire. Elle veut ascades, zouk, s’affranchir des normes, transmise par l’éducation, la culture, les codes culturels, les médias, la société du spectacle basées sur des fondations judéochrétiennes, patriarcales et capitalistes qui l’empêche de se réaliser pleinement. La culpabilité, la peur, la pression sociale, le mérite, la performance normative lui colle à la peau comme un serpent agile. Son travail opère par déplacement dans une tentative de désacralisation, ou de sacralisation absurde ce qui revient au même.
Le spectateur est invité à trouver une issue à un spectacle qui l’intranquilise et crée un espace désorienté, proche de l’absurde.

www.johndeneuve.com

http://www.documentsdartistes.org/artistes/deneuve/

https://www.facebook.com/johndeneuveartist/

https://soundcloud.com/john-deneuve

https://vimeo.com/johndeneuve

Exposition du 12 septembre au 3 octobre 2020

Le soir du vernissage John Deneuve active une performance « Bain de Minuit » avec Olivier Le Falher et Lazaro Benitez Diaz

Bain de Minuit est un duo électro, accompagné vendredi d'un danseur, né sur les bords de mer Méditerranée, dont la forme musicale rappelle le prélude à l’amour. Ils ne font pas de bon nageurs, mais s’enfoncent volontiers dans l’idiotie et l’énergie festive des rythmes electro techno. Avec des salves d’orgue électrique, une guitare électrique, des beats, des mélodies et des notes passées à la moulinette electro qui résonnent partout.Des chorégraphies qui oscillent entre des danses nerveuses qui mêlent des mouvements de tecktonik, des joyeux pogos mais aussi l’agilité, la grâce et la féminité d’une gymnaste en tenue de bain. Le public ne peut que gagner en souplesse. Quelques costumes, de la manipulation d’engins et des vidéos d’animaux agiles permettent d’oublier ces absurdités injustes et dégueulasses qui agitent notre quotidien.

La Tranche Aveugle - MIOM (IOMAI & Myriam Martinez)

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Regarder en biais pour saisir l'épaisseur cachée, LA TRANCHE AVEUGLE est une exposition d'impressions vibratoires du collectif MIOM (IOMAI et Myriam Martinez) 


Invités par le metaxu à s'immerger dans la ville de Toulon, les artistes montrent un univers sombre et énigmatique. 


IOMAI et Myriam vivent dans le Finistère, IOMAI formule un aller-retour permanent entre images, formes et sonorités, il propose un cheminement aléatoire et décalé où se mélangent les genres de manière empirique, avec une part d’inattendu pleine de surprises, des univers inouïs.


Myriam investit les champs de la sculpture, de l'installation, elle dessine une incantation entre le récit et le mythe.


http://iomai.fr/
https://www.myriammartinez.com/

Vernissage le vendredi 14 août à 18h 

Exposition du samedi 15 août au samedi 5 septembre 2020

Écologie de donjon - JMBN (Julie Marchal & Mathilde Barrio Nuevo)

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JMBN est un duo d'artistes mordu de science-fiction, de série B et de série Z. Leurs installations sont ambiguës comme des nanars; elles ont le génie de divertir par leurs défauts. Leurs œuvres sont pensées comme des éléments de décor, elles démontent la notion de genre avec désinvolture et opiniâtreté pour, dans une lumière rasante, révéler des glissements d’échelles et des changements de formats qui apparaissent comme des passages d'une réalité vers une autre. 

«Écologie de donjon», résume leur humour, aussi enfantin que terrible, à l'esprit série Z : l’ingéniosité artistique qui découle d’un petit budget, la mauvaise interprétation des comédiens, les erreurs techniques plus ou moins flagrantes, etc.

Vernissage le vendredi 10 juillet à 18h 

Exposition du samedi 11 juillet au samedi 8 aout 2020

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Carrés Graphiques 

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Carrés Graphiques retrace une experience de six performances qui engagent 1 plasticien et

2 musiciens.

Ces vidéos montrent des artistes visuels qui développent leurs pratiques dans un temps contraint, accompagnés en live par des musiciens.

Le metaxu propose ces performances graphique et sonore lors de l’évenement Musiques Graphiques organisé dans la galerie lors des soirées du vendredi soir.

Musiques Graphiques est une surface de rencontre du son et de l’image, un rendez vous plein de surprises où le danger de l’improvisation sonore et l’exploration graphique conversent.

A travers 1 dispositif miroir avec 3 caméras vidéo, Musiques Graphiques à réunit pour une soirée, 3 plasticiens et 2 musiciens pour 1 heure d’échange entre le trait et le son, le motif et la boucle.

Pour les deux éditions 6 plasticiens ont proposés un développé graphique de 15mn :

• Pauline Testi

• Eva Galtier 

• Virginie Sanna 

• Ambre Macchia
• Simon de la Porte
• Caroline Mary

Accompagné par 3 musiciens :

• Nicolas Gaillardon
• Hugo Ernst
• Benoit Bottex

Exposition du mercredi 24 juin au samedi 4 juillet 2020

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S*RT*R

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Le metaxu propose le vendredi 15 Mai 2020, une installation éphémère dans la galerie du metaxu, pour reprendre ses esprits et ses marques, pour un visiteur unique, le temps d'une traversée de la galerie entre peinture et bande de son de Hugo Ernst (Potochkine). 

 

Quand sortir n'est plus permis, d'autres portes s'entrouvrent laissant les souvenirs et les voix s'entremêler aux variations / oscillations des machines dans des confins intérieur infini.

(Hugo Ernst Smp)

Exposition du vendredi 15 Mai au samedi 13 juin 2020

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Léna Durr expose ses photos au metaxu, l’occasion de les montrer aux jeunes collectionneurs du département, l’occasion de découvrir ses livres de collections.

 

« Les œuvres que je propose trouvent leur origine dans ma collection d’objets émanant de la culture populaire, qui témoigne non seulement de la dérive vers une société de consommation qu’elle subit depuis la deuxième guerre mondiale mais aussi de sa résistance. Je rends compte de celle-ci dans une série de livres d’artiste qui montrent, de façon ordonnée et exhaustive, les différents objets qui la constituent. 

C’est dans ces collections que je puise l’essentiel des éléments qui contextualisent mes installations et mes mises en scène photographiques. Si l’on pourrait croire un instant à du reportage, on se rend vite compte que tout est factice. Ce sont des mises en scène où tout est pesé : les modèles et les lieux, qui ont fait l’objet de castings et de repérages, ainsi que les objets qui les entourent et qui les peuplent.
Ancré dans cette tension entre culture populaire et culture savante, entre cité et campagne, entre l’adolescence et l’âge adulte, c’est un travail qui se place en lisière; à la fois dans cet espace liminal des villes mais aussi en marge des cadres normatifs de la société actuelle. »

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Un festival Vrrrr est depuis 6 ans, une expérience du temps du dessin. Dans une relation hors-norme avec le public, les dessinateurs transforment pendant 3 jours le musée de Toulon en un atelier géant. Une aventure suspendue, sauvage et contagieuse… Cette exposition est un échange avec tous les participants des précédentes éditions.

www.manoeuvrrrr.fr

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exposition du 29 Septembre au 21 Octobre 2017

Avant d’être un espace d’art associatif, ce qui est désormais le Metaxu était un des centre de gravité du marché noir des environs. C’était en quelque sorte le quartier de la pègre, jalonné de bars à entraîneuses. Ces murs étaient fréquentés par le tueur en série Roberto Succo, lequel avait commencé sa carrière en tuant père et mère.

L’histoire était trop belle pour Pierre Beloüin ne saisisse pas l’opportunité. A plus forte raison, l’artiste est lié d’une certaine affection pour Toulon, la ville dans laquelle il a fait une partie de sa formation.
Pierre Beloüin a souhaité faire revivre l’esprit des lieux et de leur passé trouble. Il s’est livré à un important travail d’investigation pour retrouver des documents liés aux événements qui se joués là. L’exposition Do You Really Want to Hurt Me ? réunit principalement des pièces totalement inédites.
C’est le cas de la série Submarines, consistant en six posters photographiques montrant la vie de militaires en mer et au port. Il refait également l’enseigne du bien nommé Bar d’enfer, lequel était assidument fréquenté par le tristement célèbre Roberto Succo.
Comme c’est régulièrement le cas pour l’artiste, l’exposition témoigne du goût de l’artiste pour la parodie. Le titre lui-même est parodique. Deux sculptures sont notamment marquées par une certaine ironie. Acid Bath est par exemple un aquarium d’acide, avec ses pierres en décomposition et ses éponges décoratives. Il rappelle les bassins dans lesquelles des victimes pouvaient finir, histoire de faire disparaître les corps dans l’espoir du crime parfait, mais cette fois à l’échelle domestique. Une nouvelle pièce, réalisation déjà centrale dans son œuvre, achève le tableau. L’artiste conçoit en effet une Fontaine de rhum. C’est un élément décoratif tels que ceux qui ornent les massifs et les points d’eau des propriétés kitsch, au détail près que le mécanisme pompe du rhum. Cette fontaine s’ajoute brillamment à celles qu’a connu l’art jusqu’ici.
Pierre Beloüin collabore aussi avec Jean-Loup Faurat d’Hifiklub pour l’installation Whimpers, une pièce sonore diffusée par le système de ventilation de la galerie. L’espace devient ainsi habité, comme fantomatique, faisant revivre la mémoire de la pègre qui sévissait là.
Deux pièces plus anciennes sont revisitées par l’artiste pour l’occasion, le Bas-Relief de cannettes de bière et une version inédite de Vague froide, plan séquence sur l’eau fendue par un bateau sur la méditerranée, au large de Toulon.

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Deux artistes issus des précédentes éditions de VRRRR (2015, 2016) se (re)trouvent pour investir à quatre mains l’espace du metaxu.

Leur exposition, entre dessin et installation, nous plonge dans un univers apparemment délicat, en lien avec les cabanes de notre enfance, les cachettes imaginaires où se déroulent/se sont déroulés nos rêves d’enfant…

Jérôme Souillot (toulouse) est plasticien, il dessine des rébus, des totems, des images d’Épinal, questionne le regard et joue avec notre capacité à reconnaître. Les traits invoquent les registres familiers de la bédé ou du dessin-animé mais fabriquent des ambiguités.
Bénédicte Thoraval (toulon) est artiste ; sa relation à la nature est primordiale ; elle observe de façon contemplative, presque méditative…Entre l’observation et le dessin, beaucoup de perte, comme dans la pratique du Haïku, ces petits poèmes visant à célébrer l’évanescance des choses.

© 2025 par metaxu, espace d'artistes

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26, 28, 30 Rue Nicolas Laugier, 83000 Toulon

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