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Cet été le metaxu reçoit deux collectifs pour travailler, inventer des formes :

PLIER BAGAGE (Tourcoing, Toulon)

Paul Ralu, Morgana Planchais, Honorine Pardon, Zagros Mehrkian, Wilfried Dsainbayonne, Margot Bricout, Aurore Balsa

 

Loin d’avoir trouvé sa destination, Plier Bagage est un jeune groupe d’artistes qui avance en élaborant des formes et des récits au gré d’aventures communes qui les réunissent. Toujours en quête de nouveaux horizons, ils explorent des pistes autour des mobilités, d’échanges et du sentiment «d’habiter», dans des contextes et des temporalités diverses.

Ce temps de résidence estival prendra la forme d’un work-in-progress en bivouac. Il tendra à interroger le territoire Toulonnais à travers les différentes figures qui rythment cette période vacancière, se demandant comment ces derniers l’habitent et comment Toulon se dessine par leurs expériences saisonnales.

L’espace du Métaxu sera considéré comme un camp de base, une aire de repos accueillant ceux qui souhaitent s’y arrêter, l’envie étant de rencontrer et de recueillir une multitude d’éléments.

Les vacances à Toulon, avec tout ce qu’elles véhiculent, s’avèrent être une intuition centrale autour de laquelle Plier Bagage établira ses recherches.

KIND OF KIN ete collectif
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KIND OF KIN (Paris, Toulon)  

@kind_of_kin

Lucie Béguin, Vidya-Kelie Juganaikloo, Antoine Proux, Axelle Rossini, Ida Simon-Raynaud

 

Une exposition du projet Kind of Kin au Metaxu, Toulon. Du 29 aout au 19 septembre.

 

Alors que la première étape de travail au Metaxu éprouvait les héritages des générations précédentes, pour cette seconde invitation Kind of Kin élabore des fictions singulières depuis les legs mythologiques, scientifiques, et technologiques. 

L’infâme carré sémiotique de A.J Greimas, formule empruntée à Donna Haraway, est un outil de classification se rapportant à deux paires de concepts opposés dont les interactions génèrent d’autres concepts. A l’échelle de l’exposition, il s’agit d’un outil de construction de récits altérés, fragmentés ou élargis.

Pour chaque pièce les artistes utilisent un traitement diaphonique, soit la fabrication d’un message qui intègre les interférences d’un second message. Cette stratégie participe aux dérives des récits particuliers dont les formes se concrétisent sur le modèle du fabuleux.  

Loin d’être une exposition thématique, L’infâme carré sémiotique de A.J Greimas use d’interférences, de disjonctions afin d’accéder à la fiction comme processus d’émancipation envers ces milliers de noms, ces milliers d’histoires trop grand·e·s et trop petit·e·s.

 

*Donna Haraway Les promesses des monstres, dans Penser avec Donna Haraway, éditions Puf, 2012, p. 181.

*Donna Haraway, Anthropocène, Capitalocène, Plantationocène, Chthulucène. Faire des parents, Multitudes 2016/4 (n° 65), p. 75-81. 

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