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 les volets 

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Zoé Tosello

lecture de Max Lefebvre
 

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Palmiers

L’ensemble des 3 œuvres de Zoé Tosello est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon.

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Lecture de Max Lefebvre

Léa Doussière

lecture de Vanessa Moskovosky
 

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Seuils Interralactiques

L’ensemble des 3 œuvres de Léa Doussière est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon.

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Lectures de Vanessa Moskovosky

Zagros Mehrkian

lecture de Jeanne Anna Simone
 

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Légitime

L’ensemble des 3 œuvres de Zagros Mehrkian est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon.

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Lecture de Jeanne Anna Simone lors du vernissage le jeudi 30 mars 2023 devant les volets du metaxu sur la Place du Globe à Toulon et devant le volets de la Bibliothèque Armand Gatti sur la Place Martel Esprit de la Seyne-sur-mer. 

Stéphane Margolis

lecture de Philip Segura

Les volets de Stéphane Margolis.

L’ensemble des 3 œuvres de Stéphane Margolis est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon.

«André Breton a toujours vu dans les objets une porte qui lui permettait d’entrer dans un monde quel qu’il soit, surréaliste, mexicain... Chaque objet a sa propre vie, mais donne aussi une perception à chaque être, qu’il en soit conscient ou non. Je retrouve en André Breton le sentiment intérieur que chaque objet me nourrit. Par collage, par travestissement ou autres. Chaque objet me donne l’inspiration créatrice.»

Stéphane Margolis vit et travaille à Hyères. Il se concentre sur des projets d’assemblages d’objets trouvés pour créer des totems ou autres formes. Des objets chinés en brocante ou
sur internet mais rien de neuf. Il favorise plutôt des objets de famille, qui ont une histoire, un côté affectif, et qui trouvent une deuxième vie. C’est un travail intuitif, basé sur le hasard des rencontres d’objets, de belles matières. Il puise des manques dans ses créations, des auxiliaires afin de terminer ses compositions.

Céline Notheaux

céline notheaux

lecture de Eloïse Mercier

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APNÉES

« Inspirez. Expirez. Pour préparer la traversée. »
 

L’ensemble des 3 œuvres de Céline Notheaux est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon.


Le soir du vernissage, vendredi 25 mars, devant les trois volets, une lecture est proposé par Eloïse Mercier. 

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Céline Notheaux réalise des installations, des performances où sculptures, vidéos, formes éditées et dessinées cohabitent. La pratique du dessin est à la base de la plupart de ses projets. Les outils et la temporalité dédiées au travail de la main et de l’oeil amènent des rendus variés ; ici sont présentés des agrandissements de dessins réalisés au fusain et à l’estompe.

« Pour les volets du metaxu et de la médiathèque Armand Gatti, j’ai cherché à composer des images qui soient polysémiques et évocatrices. Dans ces trois dessins, j’ai utilisé des symboles et des formes qui surgissent souvent dans mes corpus d’oeuvre : la figure bovine qui m’évoque le monde paysan, les mains qui renvoient aux langages et au travail, le motif arlequin et les losanges qui sont des quadrilatères, portes vers un univers poétique, les taches d’encre qui nous disent l’absence
de repentir et le poids de l’expérience, les nuages prémisses de l’activité contemplative, informe de tous les possibles... autant d’éléments
qui constituent ici des paysages, des personnages, des situations métaphysiques où se joue un imaginaire lié au monde agricole, aux champs du savoir, à la société de classe.
Les symboles portent toujours de multiples sens, chacun.e va se projeter dedans d’une manière spécifique. J’aime l’idée que les images soient ouvertes, qu’elles puissent servir de support pour des narrations à inventer. »

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Sacha Stoliarova

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Lecture de Cédric Lerible devant le dessin de Sacha Stoliarova lors du vernissage devant le bibliothèque Armand Gatti à La Seyne-sur-mer le vendredi 25 mars 2022. 

« Mains corps paysage bleu. 
La forme du paysage change plus vite hélas que nos corps. »

 

Sur les volets du metaxu deux propositions de Sacha sont à découvrir, une matrice et son tirage. Gravé sur du médium, Sacha empreinte le dessin sur le volet voisin. Dans son univers graphique Sacha convoque nos relations au monde, ces dessins figuratifs nous interpellent directement par leur universalité et leur empreinte féminine. Sacha grave et multiplie les tirages. Sur cette immense planche à voir dans l’espace public l’oeuvre en technique de gravure en taille d’épargne engage le travail du corps dans l’espace de représentation. Mais pour le tirage d’une si grande matrice c’est une expérience collective qui est en jeu. Huit personnes ont vécu ce moment où l’impression d’un multiple de cette taille révèle une profondeur humaine et soulève différentes questions liées à l’oeuvre, l’action, l’échange, le temps. Ce qui nous lie tous, dans ce paysage bleu, imprimé à l’aide d’une cuillère, c’est nos fondamentaux vitaux, nos sens, nos perceptions et notre compréhension du monde. Graver c’est fixer. C’est dire et garder dans le temps, à l’aide de la matrice en multipliant.
C’est raconter des histoires personnelles mais utiliser un langage familier qui appartient à chacun.

L’ensemble des 3 œuvres de Sacha Stoliarova est proposé comme un parcours à découvrir entre deux lieux : la bibliothèque Armand Gatti sur le Place Martel Esprit de La Seyne-sur-mer et le metaxu sur le Place du Globe à Toulon. 


Le soir du vernissage, vendredi 25 mars, devant les trois volets, une lecture est proposé par Cédric Lerible.

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Geneviève Fargetton

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Geneviève Fargetton débute le dessin numérique dans les années 80 en travaillant sur des dessins d’animation, elle travaille aujourd’hui sur iPad. Peintre, elle a exposé entre autre à la Galerie Agnès B. à Paris, à l’Autoportrait à Marseille. Elle nous propose un voyage en trois volets couleurs, lignes floues et espaces lointains sa palette numérique nous rappelle des paysages rêvés.

 

L’ensemble de ces trois œuvres de Geneviève Fargetton est proposé comme un parcours à découvrir entre la Bibliothèque Armand Gatti de la Seyne sur Mer et le metaxu à Toulon. 

Une articulation poétique qui se découvre en deux temps :

• Une première photographie est installée devant la bibliothèque Armand Gatti à la Seyne-sur-mer. 

• Deux autres photographies et une maquette sur les volets du metaxu.


Le soir du vernissage, vendredi 8 octobre, devant les trois dessins de Geneviève Fargetton, une lecture est proposé par le Thomas Astegiano. Comédien, auteur, Thomas Astegiano à lu deux textes pour envelopper notre regard et accompagner les images de Geneviève, à la Seyne sur Mr et à Toulon, accompagné par Benoit Bottex à la clarinette. 

L’ensemble des œuvres proposé comme un parcours par Geneviève Fargetton est à découvrir entre les deux lieux, et visible jusqu'au 25 novembre 2021.

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Lecture de Thomas Astegiano devant les dessins de Geneviève Fargetton lors du vernissage sur la terrasse du metaxu le vendredi 8 octobre 2021. 

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Camille Sart

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À partir de maquette, Camille Sart réalise des reconstitutions de lieu traumatique. Il interroge, par des jeux d’échelles, les rapports de pouvoir entre enfants et adultes. C’est en recueillant des témoignages, en consultant des archives, en se nourrissant de récits et de textes de recherches sur les questions de la maltraitance sur mineurs et des dérives institutionnelles que l’artiste construit ses pièces. Il nous propose une maquette issue de souvenirs d’enfance. Lieux où des maltraitances se sont déroulées, souvenir de ces lieux qui ont permis une prise de conscience sur des secrets de famille, de violence insidieuse, de non-dits et d’injustice. 

 

C’est en deux temps que nous pouvons voir son travail. 

• Une première photographie est installée devant la bibliothèque Armand Gatti à la Seyne-sur-mer. 

• Deux autres photographies et une maquette sur les volets du metaxu. Ici, la première photo représentant une porte entre ouverte nous transporte à l’intérieur de la chambre d’enfant aux murs bleu, a contrario de la seconde photo, où est installée la maquette. 

Nous nous retrouvons alors dans une tout autre position, qu’elle soit positive ou négative, cherchant alors à percer le mystère qui s’y cache, à assouvir notre curiosité ou à ne plus se mettre des œillères. En regardant dans le miroir, une phrase à décoder, une phrase qui interpelle, une phrase qui peut en dire long. 

L’ensemble des œuvres proposé comme un parcours par Camille Sart est à découvrir entre les deux lieux, et visible jusqu'au 17 septembre 2021.

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Camille Sart propose à travers le Parcours GATTI et METAXU, une articulation poétique qui se découvre en deux temps :
• Devant La bibliothèque Armand Gatti, sur le volet extérieur de la bibliothèque, avec un texte retravaillé par lui, et tiré du livre "Sous Silence" de Catherine Enjolet
• Devant le metaxu à Toulon, sur la place du Globe, sa maquette nous projette dans l’enfance en évoquant la famille et l’injustice, accompagné d'un texte écrit par Camille sous forme d’une performance. 

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Thomas Bissière

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Thomas Bissière pose des traits sur d’autres traits, des images à cotés d’autres images, des objets sur des images et vice-versa. Il pose des mots sur les images pour que les images posent des questions.

Dans ses mains, il y a parfois des feutres, un appareil photo, un bout de carreau de ciment... Ces outils lui permettent de délimiter l’espace.

Dans ses yeux, il y a le monde de l’étonnement. Cet espace se compose de zones d’ombre, de zones de flou.

Dans sa tête, il y a le jeu : le jeu de hasard, de mot, de situation, de sens ou de non-sens.

Dans sa bouche, le jeu, le flou, et l’espace prennent le nom de poésie du quotidien.

Thomas Bissière vit et travaille à Toulon, il est diplômé de l’ESADTPM en 2010.

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Virginie Sanna - The Square Light

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À travers diverses modalités plastiques et dispositifs minimalistes, The Square Light, déstabilise, fluidifie, densifie la perception du carré, en jouant avec la matérialité grâce à la lumière. 
Virginie Sanna privilégie avec la photographie, les dispositifs in situ, et l’emploi de médiums volontairement immatériels, comme la lumière artificielle pour perturber la perception de l’espace. Les projections lumineuses agencées in situ, se dispersent le long des murs et du plafond de la pièce et dévoilent une masse. En fonction de l’angle d’incidence de la projection, le carré sur les surfaces de la pièce se déforme. Cette diffusion est un moyen de révéler l’instabilité de la perception de l’espace et du carré. 
Virginie Sanna envisage dès l’origine de sa démarche, une approche conceptuelle et analytique en s’orientant vers des œuvres abstraites et sérielles à tendance géométrique. Sa méthode d’approche s’est construite à partir de l’analyse du matériau en tant que médium. Par le biais de ces photographies, les propriétés des matériaux et les phénomènes physiques sont questionnés dans leur capacité à faire vaciller la notion même de matérialité.
 

Virginie Sanna vit et travaille à Toulon, elle est diplômée de l'ESADTPM en 2016.

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Eva Galiauskas

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Quelques traits nous ramènent à un souvenir vivant sur les volets du metaxu. Eva Galiauskas dessine des silhouettes et écrit des bribes de conversations. C’est un reflet d’une normalité que nous voulons vite tous retrouver. La vie, les rencontres et l’échange, c’est cela que fait apparaitre Eva avec simplicité et élégance. Précis, le geste du pinceau organise le regard entre l’espace du passant et la réminiscence de l’agitation de la Place du Globe les soirs de vernissage.

" Tel un chasseur je rôde dans des bars, des restaurants, des terrasses, ... Je capture des instants présents. Mes outils - mes yeux. Je dessine rapidement ce que je vois et j'écris ce que j'entend. Mais comment faire quand les bières à la main, la fumée des cigarettes et les enchaînements de paroles ne sont plus dans ce présent ? Il ne reste juste un trait comme un souvenir de ces présents. C'est peut être toi, c'est peut être vous ? C'est un vide que tu remplis. des phrases déjà capturées dans un passé pas si lointains. C'est un dialogue entre le vide et le plein. Entre le passé et le présent. L'imagination fait le reste. " 

Eva Galiauskas
 

Eva Galiauskas vit et travaille à Toulon, elle est diplômée de l'ESADTPM en 2019. 
 

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Vehanush Topchyan - linceul

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Les «linceuls» de Vehanush Topchyan présentent des objets abandonnés dans les rues. La prise se fait in situ, après avoir recouvert l’objet d’un drap blanc, toujours le même. Elle considère ces photographies comme des sculptures temporaires.

Perpétuellement en recherches d’images «fascinantes», Vehanush Topchyan photographie, chine, cherche des dispositifs simples. Elle perçoit ses images comme une forme de connaissance, un outil pour remettre en questions la réalité et témoigner de son regard sur les choses : Saisir ce qui est imperceptible.

La vidéo et la photographie sont les médiums les plus appropriés dans sa réflexion pour appréhender et interroger la réalité. Avec eux, Vehanush Topchyan interroge le rapport entre l’image fixe et l’image en mouvement, le rapport entre présent et passé, entre absence et présence, entre oubli et mémoire, entre reprise et souvenir.

Diplomée de l’École Supérieur d’Art et de Design de Toulon, Vehanush Topchyan vit et travaille à Toulon.

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GREKY 

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Artiste autodidacte, Stéphane Greky démarre la peinture via le graffiti. Cette peinture s’affranchie des codes et des outils que ce dernier suggère, l’artiste à tout de même garder la spontanéité, la gestuelle et la brutalité de cette discipline.

Il réalise cet peinture le vendredi 18 septembre dès 18h lors de l'ouverture du café associatif du metaxu. 

L’acte de peindre, sans contrainte ni esquisse prédéfinie, la liberté de mouvement et la mécanique de gestuelle sont les fondements de ses recherches. Mouvements et résultat, le corps est la pièce maitresse d’une telle création. Idéalement, une œuvre de la sorte s’appréhende pendant et après sa réalisation.

Réalisées à l’acrylique, ses compositions murales, entre ébauches brutes et formes achevées/inachevées, se construisent selon
une gestuelle pure et énergique. Adepte de murs grands formats, permettant un dynamisme débridé lors de la conception d’une œuvre, il privilégie l’instantanéité du mouvement et attache une grande importance à conserver le rythme, les textures et la magie du premier jet.

Récemment installé à Toulon, après deux résidences artistiques consécutives à La Villa Gregam ainsi qu’à Dédale dans le Morbihan, il continue insatiablement d’explorer ses limites ainsi que celles de la création au sein de son «laboratoire».

instagram : @Greky_insta

facebook : @StéphaneGreky

MIOM (IOMAI & Myriam Martinez) - Alarme vive (La Tranche Aveugle) 

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Alarme vive est une oeuvre présente dans l'exposition La Tranche Aveugle du collectif MIOM (IOMAI & Myriam Martinez). 

Regarder en biais pour saisir l’épaisseur cachée, LA TRANCHE AVEUGLE est une exposition d’impressions vibratoires du collectif MIOM (IOMAI et Myriam Martinez) Invités par le metaxu à s’immerger dans la ville de Toulon, les artistes montrent un univers sombre et énigmatique.

IOMAI et Myriam vivent dans le Finistère, IOMAI formule un aller-retour permanent entre images, formes et sonorités, il propose un cheminement aléatoire et décalé où se mélangent les genres de manière empirique, avec une part d’inattendu pleine de surprises, des univers inouïs. Myriam investit les champs de la sculpture, de l’installation, elle dessine une incantation entre le récit et le mythe.

www.iomai.fr/

www.myriammartinez.com/

Ambre Macchia - Libère tes volets 

Ambre Macchia
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Libère tes volets témoigne à la fois d’un épanouissement du corps et d’une affirmation de la sexualité féminine dans la société. Les couleurs enjouées et l’assurance dans la gestuelle renforcent ainsi cette idée qui est pourtant contrebalancée par un taquin pied-de-nez à la situation actuelle. 

La limitation de nos gestes causée par la pandémie qui nous assaille, nous cloue et nous encage, ne nous laisse que le temps de constater le poids de l’empreinte que l’homme laisse sur ce qui nous entoure. (Ambre Macchia)
 

Les dessins de Ambre Macchia sur les volets sont visible jusqu'en Juin 2020. 

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Quentin Nishi

Quentin Nishi
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Vendredi 7, 14, 21, 28 Février 2020

Quentin Nishi investit les volets du metaxu à sa façon: il vient successivement les 4 vendredi du mois de février et transforme les images précédentes en peignant, collant et dessinant par-dessus. 


Cette fois les volets sont une oeuvre évolutive que Quentin fera varier tous les vendredi soir.  


Les dessins de Quentin Nishi sur les volets seront visible jusqu'au 15 Avril 2020. 

 

Lola Querci

Lola Querci
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Vendredi 13 Décembre 2019

ZOOM

A travers des «rattages» photographiques, flous, surexpositions, sous- expositions, Lola Querci altère la capacité de la photographie à capter le réel pour tendre vers une picturalité, une forme d’abstraction.

 

L’affiche photographiée est altérée par la prise de vues. La lumière la transfigure, on y perçoit des reflets et le cadrage prend en compte ses éléments périphériques. Cette affiche ou image, bien qu’elle soit plane, ne se limite pas à ses deux dimensions : la photographie retrouve sa capacité de projection à travers un espace (réel ou photographique). Cette affiche d’affiche photographiée retrouve une place en bordure d’espace public comme une possibilité de réel réinventée.

 

Le bas-relief fait figure de motif dans l’espace urbain. La pellicule périmée utilisée pour prendre cette photographie ajoute un filtre mauve et une tâche plus claire. Par l’acte photographique le bas- relief devient une image en deux dimensions, un motif comme un écho à l’image voisine et offre au passant un clin d’oeil furtif d’un réel altéré.

Photographies argentique, 150x 252,47 cm (2019)

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Lucas Irad

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Vendredi 28 Juin 2019 

Perception, rêve, sensation, élément fondateur de notre existence ?

Je cherche à favoriser l’interaction entre conscience et perception. Les objets que je conçois ont pour vocation à forcer notre perception à s’adapter à celui-ci, d’autres, nous donnent la possibilité de la moduler afin d’en obtenir différentes sensations, impressions, ou percepts. Chaque vision du monde est unique, cela-dit, certains objets provoquent des erreurs perceptives comme les illusions d’optique.

L’une d’entre elles présente le dispositif de manière épurée et limite la dissonance cognitive, tandis que l’autre y intègre des lignes horizontales supplémentaires nous permettant de nous raccrocher à un élément neutre et facilement vérifiable.

Les deux images se regardent à distance. Notre perception est partagée entre faire subir la déformation provoquée par l’illusion d’optique à ces lignes, et lutter contre elle afin que toutes les lignes restent horizontales.

Lucas Irad, vit et travaille à Toulon.

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Gérard Dubois - juin 2019

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Street photographe, il prend possession de l’ExtrA-metaxU. Les deux volets de la place du Globe comme un miroir figent des portraits et des personnages volés dans les déambulations du photographe. Sa pratique continue de la photographie nous livre des scènes du quotidien, des rencontres fortuites.  

www.gerard-dubois.com

Simon de la Porte - janvier 2019

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Deux portes et une chaise.

 

Simon de la Porte est un dessinateur, graphiste et musicien. Voici plus d’un an qu’il s’est installé a Toulon après avoir passé vingt ans de sa vie à Paris. Il dessine aux feutres depuis 2014, son médium fétiche qu’il a du mal à troquer contre un pinceau. Il pratique le collage et le photomontage depuis longtemps, et le mixe avec ces feutres depuis peu, ce qui donne à son style, qu’on pourrait qualifier de naïf, une autre dimension un peu inquiétante non dénuée d’humour. Simon s’interroge sur les chaises en plastique, ces objets industriels, monoblocs, que l’on trouve partout dans le Monde, et auxquelles on ne prête aucune intention esthétique, si ce n’est que pour s’asseoir dessus en toute indifférence.

Il est également un peu nostalgique d’une ère où le design automobile avait du sens, une réelle émotion esthétique. Il affectionne le dialogue des objets communs fabriqués par l’industrie et celui de la Nature.

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Eric Principaud - septembre 2018

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“Je pénétrais dans des immeubles abandonnés. Soit je prenais les lieux tels qu’ils étaient, soit, à partir des objets que je trouvais sur place je créais une scénographie qu’ensuite je prenais en photo”

Eric Principaud

Ces photos ont été faites dans la vieille ville de Toulon non loin de l’ancienne “Maison des têtes”. Elles ont été prises en 1988/89. Certaines photographies ont été exposées à la galerie Remp’Art en 1990. Quelques photos doivent être entreposées dans les réserves du musée de Toulon.Ce travail s’est poursuivi ensuite à Marseille dans le quartier du Panier suite à une bourse de la ville de Marseille avant qu’il soit rénové. Ce travail a été montré au FRAC en 1994.

IPIN - juin 2018

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1- 4- 1- 2
Quatre chiffres et se déclenche une séquence.
A partir du réel, de ce que nous voyons: la courbe de l‘encadrement, les planches des volets IPIN deplace nos perceptions.
Les formes s’entrecroisent et se multiplient pour brouiller notre regard. Les couleurs engagent le mouvement. Jaunes, gris et blanc, le motif se répète en boucle jusqu’au désordre.
Ce double volet pris en main par IPIN nous rappelle les formes que nous croisons au quatre coins de la place et transforme les géométries environnantes.
"c’est une dystopie graphique" dit il, une tentative pour ajouter une pincée d’émotion dans notre société géométrique.

Bénédicte Thoraval & Jérôme Souillot - 2017

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Entre dessin et installation, Bénédicte Thoraval et Jérôme Souillot nous plonge dans un univers apparemment délicat, en lien avec les cabanes de notre enfance, les cachettes imaginaires où se déroulent/se sont déroulés nos rêves d’enfant…

Jérôme Souillot (toulouse) est plasticien, il dessine des rébus, des totems, des images d’Épinal, questionne le regard et joue avec notre capacité à reconnaître. Les traits invoquent les registres familiers de la bédé ou du dessin-animé mais fabriquent des ambiguités.
Bénédicte Thoraval (toulon) est artiste ; sa relation à la nature est primordiale ; elle observe de façon contemplative, presque méditative…Entre l’observation et le dessin, beaucoup de perte, comme dans la pratique du Haïku, ces petits poèmes visant à célébrer l’évanescance des choses.

Hildegarde Laszak - 2017

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